Boire en soirée, fumer un pétard, apparaissent aux yeux des adolescents comme des éléments banals pour s'amuser. Les risques d'excès et de dérives ne sont parfois pas loin, mais le sujet reste délicat à aborder pour les parents qui n'y assistent pas directement.
La situation dérape quand on boit pour se saouler à en être malade, et le jeune prend la voiture en état d'ébriété. On parle aujourd'hui de "binge drinking", ce comportement venant des pays anglo-saxons.
A la longue, le jeune risque de se "désocialiser", d'avoir une vie marginalisée. Les parents et les proches ne doivent pas avoir peur d'aborder le sujet avec l'adolescent et l'inciter à se faire aider pour sortir de cette situation. Bien entendu, les chances de succès d'une prise en charge augmentent, si le jeune lui-même décide d'aller consulter. Mais il ne faut attendre ce "déclic" pour commencer à agir...